L’aïkido est une discipline très prisée de nos jours par un grand public aux quatre coins du monde. Ce grand succès de cet art martial est essentiellement dû aux différents efforts fournis par son fondateur et les différents précurseurs. Voici donc un article qui retrace le passé de la discipline connue aujourd’hui sous le nom d’aïkido.
La création de l’art martial de l’aïkido remonte à l’année 1925. C’est le grand maître Ueshiba Morihéï qui a élaboré l’ensemble des techniques de la discipline. En effet, elles sont en réalité la synthèse de toutes les connaissances acquises par le grand maître, appelé O Sensei signifiant « véritable instructeur ».
À la création de la discipline, son créateur envisageait d’instaurer un art martial qui prône la non-violence, et qui vise à éliminer la notion d’ennemi. Cette philosophie de l’aïkido est partagée et acceptée par ses nombreux pratiquants. Plus tard, en 1930, la réputation du grand maître fut si grande qu’il a été désigné pour entraîner les troupes japonaises à la maîtrise des arts martiaux.
À la fin des deux grands conflits mondiaux, l’évolution de l’aïkido fut ralentie en raison de l’interdiction instaurée par les Américains de pratiquer les arts martiaux. Mais, très vite, en 1952, les dojos où était pratiqué l’aïkido purent ouvrir leurs portes à nouveau. Cette nouvelle autorisation a été accordée, car la discipline prône la non-violence. Malgré qu’il ne s’exprime qu’en japonais, le père fondateur de l’aïkido avait réussi à faire connaître son art au monde entier. Sa tactique dans ce cadre consistait à envoyer des émissaires en Europe et en Amérique. Et aussi, pour continuer à enseigner l’aïkido au Japon, une nouvelle approche était prévue : faire des démonstrations en public.
Plus tard, l’aïkido fut enseigné de manière très différente à l’ancienne époque. Mais d’abord, il faut préciser que c’est désormais le fils du grand maître, Kisshomaru Ueshiba, qui était chargé de répandre l’enseignement de l’aïkido dans le monde. Ce dernier avait envisagé la transcription des techniques de la discipline sous la forme écrite. Il mit donc en place une nomenclature desdites techniques pour conformer leurs enseignements aux aspirations modernes. Et aussi, il faut remarquer qu’il a également procédé à une révision de l’exécution des techniques de l’aïkido pour faciliter le processus pédagogique.
C’est dans les années 1950 que l’aïkido fut son entrée pour la toute première fois en Europe. C’est le maître Minoru Mochizuki qui fut à la base de ce changement. L’enseignement proprement dit de la discipline eut lieu 4 ans plus tard avec Tadashi Abe, âgé de 26 ans à l’époque. Il enseigna l’aïkido en France sous l’ordre du grand maître de l’aïkido, Ueshiba Morihéï. À la fin de sa mission en 1960, Tadashi Abe regagna le Japon.
L’année suivante se fuit le tour de Masamichi Noro désigné par le grand maître comme « Délégué officiel pour l’Europe et l’Afrique » d’enseigner la discipline en France. D’autres grands maîtres poursuivirent la tâche d’enseigner l’aïkido après ce dernier en Europe, plus précisément en France. Il s’agit notamment de Hiroo Mochizuki, Mitsuro Nakazono, Nobuyoshi Tamura.
Le nombre croissant de pratiquants d’aïkido a permis d’augmenter de donner la chance à tous de profiter des avantages de ce combat. Ainsi, il est aujourd’hui possible de parier sur l’aïkido pour gagner de l’argent. Un concept nouveau, tout joueur peut mettre à profit son amour et sa connaissance de cet art martial pour se générer des revenus.
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